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FJ
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mardi 10 juillet 2018
Glyphosate, fipronil, dieldrine… font partie des 80 substances qui vont être analysées dans l’air mahorais.
Une campagne de détection et de mesures des pesticides dans l’air a été lancée le 25 juin 2018 dans toute la France, départements d’outre-mer compris. L’objectif est d’évaluer le niveau d’exposition de la population aux pesticides.
À Mayotte, l’agriculture étant principalement maraîchère un seul site a été équipé pour effectuer les mesures, comme dans les autres départements d’outre-mer. Il sera installé dans le bassin agricole de Combani.
Un an de campagne
« Au total, 80 substances actives, entrant dans la composition des produits phytopharmaceutiques, des médicaments vétérinaires et antiparasitaires à usage humain, seront analysées », explique un communiqué d’Hawa Mayotte.
A Mayotte il sera particulièrement intéressant d »observer la présence de diméthoate. Cette substance, surdosée dans des plants de tomates, avait provoqué leur destruction en décembre 2016 à Bandrélé
La campagne durera un an. 18 prélèvements, répartis dans l’année, seront réalisés tout le long de la campagne.
L’ensemble de la campagne est coordonné par l’Institut national de l’environnement industriel et des risques (INERIS).
Source: Lejournaldemayotte. Par Axel Lebruman. Le 09/07/2018.
Une campagne de détection et de mesures des pesticides dans l’air a été lancée le 25 juin 2018 dans toute la France, départements d’outre-mer compris. L’objectif est d’évaluer le niveau d’exposition de la population aux pesticides.
À Mayotte, l’agriculture étant principalement maraîchère un seul site a été équipé pour effectuer les mesures, comme dans les autres départements d’outre-mer. Il sera installé dans le bassin agricole de Combani.
Un an de campagne
« Au total, 80 substances actives, entrant dans la composition des produits phytopharmaceutiques, des médicaments vétérinaires et antiparasitaires à usage humain, seront analysées », explique un communiqué d’Hawa Mayotte.
A Mayotte il sera particulièrement intéressant d »observer la présence de diméthoate. Cette substance, surdosée dans des plants de tomates, avait provoqué leur destruction en décembre 2016 à Bandrélé
La campagne durera un an. 18 prélèvements, répartis dans l’année, seront réalisés tout le long de la campagne.
L’ensemble de la campagne est coordonné par l’Institut national de l’environnement industriel et des risques (INERIS).
Source: Lejournaldemayotte. Par Axel Lebruman. Le 09/07/2018.