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FJ
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lundi 28 mai 2018
La décision de dérembourser des médicaments utilisés pour traiter les symptômes d’Alzheimer, jugés peu efficaces, est susceptible d’être prise par la ministre de la Santé, Agnès Buzyn.
Risque de déremboursement
En se basant sur des récentes recommandations de la Haute Autorité de santé (HAS), Agnès Buzyn pourra décider de supprimer la prise en charge de médicaments anti-Alzheimer. En réalité, des traitements utilisés contre les symptômes de cette maladie, liée à une dégénérescence du cerveau et des pertes de mémoire, sont jugés inefficaces, d’où le risque de déremboursement. Rappelons que, selon les chiffres officiels, 850.000 à 1,2 million de personnes en France, souffrent de cette maladie.
Explications
Le président de la commission de transparence de la HAS, en la personne de Christian Thuillez s’est expliqué sur cet éventuel choix d’annuler la prise en charge des médicaments anti-maladie d’Alzheimer. Selon lui, il faut privilégier ‘l’amélioration du parcours de soins’ en diagnostiquant plus tôt et en assurant une ‘bonne coordination entre tous les acteurs du soin’. En parallèle d’une éventuelle mise en place de cette méthode, il faut alors désembourser.
Près de 90 millions d’euros de prise en charge, en 2015
Pour rappel, la prise en charge des médicaments prescrits aux malades d’Alzheimer est estimée à près de 90 millions d’euros, en 2015. En 2016, la commission de transparence chargée de l’évaluation des médicaments en vue de les rembourser a déjà donné son avis concernant le traitement de cette maladie. A l’époque, elle a estimé que des médicaments tels que : Aricept, Ebixa, Exelon ey Reminyl ainsi que leurs génériques avaient "un intérêt médical insuffisant pour justifier leur prise en charge".
Source: rtl.fr / LINFO.RE. Le 27/05/2018.
Risque de déremboursement
En se basant sur des récentes recommandations de la Haute Autorité de santé (HAS), Agnès Buzyn pourra décider de supprimer la prise en charge de médicaments anti-Alzheimer. En réalité, des traitements utilisés contre les symptômes de cette maladie, liée à une dégénérescence du cerveau et des pertes de mémoire, sont jugés inefficaces, d’où le risque de déremboursement. Rappelons que, selon les chiffres officiels, 850.000 à 1,2 million de personnes en France, souffrent de cette maladie.
Explications
Le président de la commission de transparence de la HAS, en la personne de Christian Thuillez s’est expliqué sur cet éventuel choix d’annuler la prise en charge des médicaments anti-maladie d’Alzheimer. Selon lui, il faut privilégier ‘l’amélioration du parcours de soins’ en diagnostiquant plus tôt et en assurant une ‘bonne coordination entre tous les acteurs du soin’. En parallèle d’une éventuelle mise en place de cette méthode, il faut alors désembourser.
Près de 90 millions d’euros de prise en charge, en 2015
Pour rappel, la prise en charge des médicaments prescrits aux malades d’Alzheimer est estimée à près de 90 millions d’euros, en 2015. En 2016, la commission de transparence chargée de l’évaluation des médicaments en vue de les rembourser a déjà donné son avis concernant le traitement de cette maladie. A l’époque, elle a estimé que des médicaments tels que : Aricept, Ebixa, Exelon ey Reminyl ainsi que leurs génériques avaient "un intérêt médical insuffisant pour justifier leur prise en charge".
Source: rtl.fr / LINFO.RE. Le 27/05/2018.