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olivier.jouas
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mardi 13 février 2018
La nutrition, qui englobe l’alimentation et l’activité physique, participe à la détermination de l’état de santé des individus.
A Mayotte, au regard de l’état nutritionnel de la population, les acteurs publics en ont fait une priorité.
L’Agence de Santé Océan Indien (ARS OI), la Direction de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Forêt (DAAF) de Mayotte, la Direction de la Jeunesse, des Sports et de la Cohésion Sociale et la Politique de la Ville (Commissariat général à l'égalité des territoires) s’associent pour amplifier la démarche. Ils lancent un appel à projets inédit « Bien manger et bouger à Mayotte » jusqu’au 23 février.
Objet de l’appel à projets
Les actions proposées devront s’inscrire dans les axes suivants :
- L’amélioration des connaissances en nutrition à Mayotte (par des études ou enquêtes, système de surveillance, sondages …)
- L’amélioration de l’accessibilité à une pratique de l’activité physique et du sport pour les personnes les plus éloignées du sport, notamment les femmes, les hommes et les enfants qui pratiquent peu d’activités sportives
- La lutte contre les carences et la sous-nutrition des enfants et des jeunes à Mayotte
- La lutte contre les maladies chroniques liées à la nutrition : le diabète et l’obésité
- La prévention primaire nutritionnelle pour modifier les comportements, notamment par :
- - la valorisation des métiers de l’agriculture et de l’alimentation, de la production agricole locale, du savoir-faire culinaire traditionnel ;
- - l’adaptation du concept "manger bouger" à Mayotte (outils co-construits, déclinaison de supports, …)
- La formation des professionnels ou des relais communautaires à la nutrition ou de toute personne intervenant dans le domaine de la restauration scolaire et de l’animation socio-éducative (accueils collectifs des mineurs, opérations ville vie vacances, ...)
- La lutte contre le gaspillage alimentaire ;
- L’amélioration nutritionnelle de l’offre alimentaire, notamment celle proposée en restauration collective ;
- Le rapprochement des producteurs avec les professionnels de la restauration collective
(par exemple, via la mise en place de Projet Alimentaire Alimentaire et le développement des circuits courts.
Feront l’objet d’une attention particulière les projets structurants, co-construits, permettant d’inscrire les actions dans une perspective pérenne, notamment les projets pédagogiques intégrés (par exemple, un programme d’ateliers sur le moyen et long terme, co-construit avec différents partenaires du domaine agricole, sportif, alimentaire/restauration, …). Les projets pourront proposer une démarche expérimentale, pour tester un dispositif innovant sur un territoire géographique restreint. Le projet devra suivre une démarche de santé communautaire, c'est-à-dire amener les habitants, les usagers, les citoyens à être force de proposition pour leur santé, leur éducation, leur bien-vivre.
En revanche, cet appel à projet ne peut pas :
- cofinancer une action à plus de 80 % de son montant total ;
- financer une action au bénéfice direct des administrations de l’État ;
- financer des investissements ou de l’achat de matériels ;
- financer des projets de moins de 1.000€ ;
- financer les porteurs de projets qui n’ont pas produit un bilan intermédiaire et/ou final des actions conduites au titre de l’année précédente et financées par la DAAF et l’ARS Océan Indien.
Modalités de candidature
Les dossiers doivent être transmis à l’ARS Océan Indien, au plus tard le vendredi 23 mars 2018 à 19h00, par voie électronique.
Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
Tout dossier incomplet, ou réceptionné en retard, ne sera pas traité.
La demande de subvention doit être présentée sur la base du formulaire Cerfa n°12156*05
La demande de subvention devra obligatoirement :
- être accompagnée du RIB et de la fiche INSEE de la structure ;
- décrire précisément l’action projetée en précisant le public cible, les acteurs impliqués, les modalités d’intervention, le cheminement de l’action, l’échéancier, le budget nécessaire et ses modalités de financement ;
- présenter un état ou une analyse des besoins locaux (bilans, diagnostic territorial, enquêtes auprès des publics, situations rencontrées...) ;
- proposer un partenariat local, notamment avec les chargés de mission ville, les adultes-relais et/ou les médiateurs, pouvant assurer un lien avec le public cible et, le cas échéant, la coordination des dispositifs pré-existants, rassemblant les qualités et les compétences nécessaires à la mise en œuvre du projet sur un territoire bien défini ;
- préciser les liens avec les dispositifs territoriaux tels que les contrats de ville ;
- prévoir un état détaillé des personnels affectés à l’action et des prestataires le cas échéant ;
- prévoir une évaluation de processus et de résultats.
Saisine de l'ARS OI
Pour procéder à une saisine par voie électronique : cliquez ici
Source: ARS OI. Le 12/02/2018.
A Mayotte, au regard de l’état nutritionnel de la population, les acteurs publics en ont fait une priorité.
L’Agence de Santé Océan Indien (ARS OI), la Direction de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Forêt (DAAF) de Mayotte, la Direction de la Jeunesse, des Sports et de la Cohésion Sociale et la Politique de la Ville (Commissariat général à l'égalité des territoires) s’associent pour amplifier la démarche. Ils lancent un appel à projets inédit « Bien manger et bouger à Mayotte » jusqu’au 23 février.
Objet de l’appel à projets
Les actions proposées devront s’inscrire dans les axes suivants :
- L’amélioration des connaissances en nutrition à Mayotte (par des études ou enquêtes, système de surveillance, sondages …)
- L’amélioration de l’accessibilité à une pratique de l’activité physique et du sport pour les personnes les plus éloignées du sport, notamment les femmes, les hommes et les enfants qui pratiquent peu d’activités sportives
- La lutte contre les carences et la sous-nutrition des enfants et des jeunes à Mayotte
- La lutte contre les maladies chroniques liées à la nutrition : le diabète et l’obésité
- La prévention primaire nutritionnelle pour modifier les comportements, notamment par :
- - la valorisation des métiers de l’agriculture et de l’alimentation, de la production agricole locale, du savoir-faire culinaire traditionnel ;
- - l’adaptation du concept "manger bouger" à Mayotte (outils co-construits, déclinaison de supports, …)
- La formation des professionnels ou des relais communautaires à la nutrition ou de toute personne intervenant dans le domaine de la restauration scolaire et de l’animation socio-éducative (accueils collectifs des mineurs, opérations ville vie vacances, ...)
- La lutte contre le gaspillage alimentaire ;
- L’amélioration nutritionnelle de l’offre alimentaire, notamment celle proposée en restauration collective ;
- Le rapprochement des producteurs avec les professionnels de la restauration collective
(par exemple, via la mise en place de Projet Alimentaire Alimentaire et le développement des circuits courts.
Feront l’objet d’une attention particulière les projets structurants, co-construits, permettant d’inscrire les actions dans une perspective pérenne, notamment les projets pédagogiques intégrés (par exemple, un programme d’ateliers sur le moyen et long terme, co-construit avec différents partenaires du domaine agricole, sportif, alimentaire/restauration, …). Les projets pourront proposer une démarche expérimentale, pour tester un dispositif innovant sur un territoire géographique restreint. Le projet devra suivre une démarche de santé communautaire, c'est-à-dire amener les habitants, les usagers, les citoyens à être force de proposition pour leur santé, leur éducation, leur bien-vivre.
En revanche, cet appel à projet ne peut pas :
- cofinancer une action à plus de 80 % de son montant total ;
- financer une action au bénéfice direct des administrations de l’État ;
- financer des investissements ou de l’achat de matériels ;
- financer des projets de moins de 1.000€ ;
- financer les porteurs de projets qui n’ont pas produit un bilan intermédiaire et/ou final des actions conduites au titre de l’année précédente et financées par la DAAF et l’ARS Océan Indien.
Modalités de candidature
Les dossiers doivent être transmis à l’ARS Océan Indien, au plus tard le vendredi 23 mars 2018 à 19h00, par voie électronique.
Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
Tout dossier incomplet, ou réceptionné en retard, ne sera pas traité.
La demande de subvention doit être présentée sur la base du formulaire Cerfa n°12156*05
La demande de subvention devra obligatoirement :
- être accompagnée du RIB et de la fiche INSEE de la structure ;
- décrire précisément l’action projetée en précisant le public cible, les acteurs impliqués, les modalités d’intervention, le cheminement de l’action, l’échéancier, le budget nécessaire et ses modalités de financement ;
- présenter un état ou une analyse des besoins locaux (bilans, diagnostic territorial, enquêtes auprès des publics, situations rencontrées...) ;
- proposer un partenariat local, notamment avec les chargés de mission ville, les adultes-relais et/ou les médiateurs, pouvant assurer un lien avec le public cible et, le cas échéant, la coordination des dispositifs pré-existants, rassemblant les qualités et les compétences nécessaires à la mise en œuvre du projet sur un territoire bien défini ;
- préciser les liens avec les dispositifs territoriaux tels que les contrats de ville ;
- prévoir un état détaillé des personnels affectés à l’action et des prestataires le cas échéant ;
- prévoir une évaluation de processus et de résultats.
Saisine de l'ARS OI
Pour procéder à une saisine par voie électronique : cliquez ici
Source: ARS OI. Le 12/02/2018.