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FJ
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jeudi 9 novembre 2017
"Madame la ministre, nous vous demandons que soit engagée sans aucun délai une réforme, notamment financière
, de la prise en charge des maladies rénales". C'est par ces mots que l'association Renaloo demande à Agnès Buzyn d'intervenir rapidement pour cesser tout forme de profit dans ce secteur de santé. L'association Renaloo, qui dispose de l'agrément national des associations d’usagers du système de santé, prend l'Aurar de La Réunion comme l'exemple de ce qui ne devrait plus arriver...
L'association de dialysés Renaloo alerte la ministre de la Santé. Suite à la mise au jour, par le Journal de l'Ile ces derniers mois, de la gestion financière de l'association réunionnaise l'Aurar, qui propose ses services aux dialysés, Renaloo adresse une lettre ouverte à Agnès Buzyn.
L'association y évoque sans détour le cas typique de l'Aurar dont le trésor de guerre ne peut que laisser songeur. La présidente de Renaloo, dont la lettre est reproduite ci-après, évoque les "dérives financières" de l'Aurar, au point d'en faire une "caricature des risques inhérents aux modes de financement des traitements de l'insuffisance rénale dans notre pays".
Elle ajoute plus loin, toujours sur le ton de la mise en garde contre le risque de rendre le "marché" de la dialyse captif, de revoir les modes de financement actuellement inadaptés voire dangereux. "Il conduisent à ce que la solidarité nationale, la santé publique et surtout l'intérêt des patients puissent être sacrifiés à des enjeux mercantiles".
Jeudi 9 Novembre 2017
Source Zinfos974.com
L'association de dialysés Renaloo alerte la ministre de la Santé. Suite à la mise au jour, par le Journal de l'Ile ces derniers mois, de la gestion financière de l'association réunionnaise l'Aurar, qui propose ses services aux dialysés, Renaloo adresse une lettre ouverte à Agnès Buzyn.
L'association y évoque sans détour le cas typique de l'Aurar dont le trésor de guerre ne peut que laisser songeur. La présidente de Renaloo, dont la lettre est reproduite ci-après, évoque les "dérives financières" de l'Aurar, au point d'en faire une "caricature des risques inhérents aux modes de financement des traitements de l'insuffisance rénale dans notre pays".
Elle ajoute plus loin, toujours sur le ton de la mise en garde contre le risque de rendre le "marché" de la dialyse captif, de revoir les modes de financement actuellement inadaptés voire dangereux. "Il conduisent à ce que la solidarité nationale, la santé publique et surtout l'intérêt des patients puissent être sacrifiés à des enjeux mercantiles".
Jeudi 9 Novembre 2017
Source Zinfos974.com