Created by
FJ
Created
jeudi 2 novembre 2017
Marie-Rose Won Fah Hin, la directrice générale de l’AURAR, fait l’objet depuis plusieurs semaines d’un véritable lynchage médiatique orchestré par le directeur éditorialiste du JIR qui met sa plume haineuse et assassine
au service d’un projet méthodiquement élaboré d’élimination de l’AURAR.
Depuis le 24 Juin, édito de lancement de la fatwa, pas moins de 10 éditos de Jacques Tillier, 5 de Philippe Leclaire (aujourd’hui mis en cause par le syndicat national des journalistes (SNJ) et la LICRA pour des insinuations antisémites), 3 Unes et plus de 15 articles !
Des amalgames outranciers, des arguments fallacieux, des accusations grossièrement mensongères, des injures sexistes, des pseudos enquêtes, des caricatures insultantes dont la répétition, semaine après semaine, n’a d’autre objet que d’instiller le doute et la suspicion pour jeter l’opprobre sur une personne et une institution livrées en pâture à l’opinion publique réunionnaise.
L’amalgame entre la femme politique et la dirigeante est subtilement entretenu. Mais la mise en cause de la femme politique n’a été qu’un leurre pour « appâter le client du samedi » de l’éditorialiste. Depuis, le masque est tombé sous la plume de Philippe Leclaire (JIR du 25/10) qui a clairement dévoilé l’objet de cette campagne sans précédents : la défense du projet concurrent de création d’un centre lourd de dialyse à Saint Paul, porté par le groupe CLINIFUTUR de Michel Deleflie.
Un groupe qui fait l’objet d’une promotion exceptionnelle depuis plusieurs semaines dans les colonnes du journal d’Abdoul Cadjee. 4 publi-reportages en 2 mois mais non annoncés comme tels comme l’exige la loi.
Nouveau schéma régional des soins
La véritable cible c’est donc l’AURAR : un établissement de santé dont le développement et les ambitions entrent directement en conflit avec des intérêts économiques puissants du monde réunionnais privé de la santé.
Le JIR lève le voile quand il s’abandonne en des termes injurieux (le Duc, la mèche, le pot aux fleurs) à une attaque en règle de l’ARS qui va devoir prendre dans les prochaines semaines des décisions importantes pour l’avenir de la santé des Réunionnais.
D’abord des décisions pour l’approbation du nouveau schéma régional des soins qui déterminera les futures implantations d’activité de soins. Les intérêts sont énormes quand il s’agit notamment de décider d’une future implantation de médecine dans l’Ouest, des futures autorisations pour les activités de traitement du cancer (chirurgie carcinologique, chimiothérapie, radiothérapie..) ou de l’insuffisance rénale chronique.
Des enjeux qui opposeront demain le secteur public (CHU et pôle sanitaire Ouest) au groupe CLINIFUTUR. Nous y reviendrons dans une autre tribune.
Projet d’un centre lourd de dialyse dans l’Ouest
Mais revenons à l’AURAR et à ses ambitions de poursuivre son développement au service de la santé des réunionnais.
L’AURAR est-elle plus illégitime que d’autres à se développer ? Quand sa qualité de service est unanimement reconnue (certification A par la Haute autorité de santé en 2017), ses activités diversifiées dans des domaines essentiels pour la santé des réunionnais (le diabète, l’obésité) et ses excédents financiers réinvestis dans son développement et dans des actions de prévention et de recherche.
N’en déplaise à l’éditorialiste du JIR, le secteur privé à but non lucratif occupe une part importante de l’offre en dialyse en France avec prés de 41 % des parts d’activité (15.000 patients).
Enfin et surtout des décisions de l’ARS qui vont très prochainement porter sur l’autorisation d’un centre lourd de dialyse au sein du futur Pôle sanitaire Ouest. Il faudra choisir entre le projet porté par le Centre hospitalier Gabriel Martin (CHGM) associé à l’AURAR et le groupe Clinifutur
La CSOS, commission spécialisée de l’offre de soins, compétente pour donner des avis sur les projets de création d’activité de soins a donné le 26 octobre dernier un avis favorable à une très grande majorité (4 abstentions) au projet porté par le Centre Hospitalier Gabriel Martin, associé à l’AURAR. Les 38 membres de la CSOS représentant la diversité du système de santé (usagers, médecins, syndicats, collectivités locales, acteurs de la prévention, établissements médicosociaux, établissements de santé..) ont même adopté une motion à l’unanimité pour rappeler leur indépendance vis-à-vis de tous les pouvoirs… Y compris de la presse quand celle-ci intervient pour discréditer un acteur de soin reconnu et adopter ostensiblement « un parti pris pour un des porteurs du projet » dont l’une des filiales du groupe est actionnaire du JIR. Indépendance…
Deux concurrents
Le projet concurrent porté par le groupe CLINIFUTUR a été retiré en séance mais le combat continue. D’abord par une intensification des pressions exercées sur le directeur général de l’ARS qui décidera in fine de la délivrance de l’autorisation sans être tenue par l’avis de la CSOS, fut-il très majoritairement favorable au projet du CHGM. Ensuite par la poursuite du lynchage médiatique pour éliminer définitivement Marie-Rose Won Fah Hin dont l’aura et les ambitions font de l’ombre à un groupe exclusivement centré sur le profit et qui dévoile aujourd’hui des méthodes inqualifiables.
Alors tous les moyens sont bons pour anéantir le projet adopté par les instances du Centre Hospitalier Gabriel Martin. Déstabiliser, discréditer l’AURAR qui apporte dans ce projet toute son expertise et son savoir-faire.
Car ce qui est aussi mis en cause dans cette affaire, c’est clairement la capacité d’un établissement de santé privé à but non lucratif à se développer et à occuper une place importante dans la prise en charge de l’insuffisance rénale chronique à la Réunion. Le JIR conteste au fond la légitimité d’une association à « prendre des parts » dans un « marché de la dialyse » prétendu juteux.
Si là est le problème, j’invite l’ensemble de la presse (y compris le JIR dans lequel il doit bien y avoir quelques journalistes professionnels capables d’une investigation indépendante) à faire une enquête approfondie sur ce secteur important de la santé.
L’enquête s’intéressera à tous les opérateurs : 2 associations (l’ASDR et l’AURAR, 2 groupes privés commerciaux (la clinique Durieux et le groupe CLINIFUTUR au travers de ses filiales dédiés à la dialyse à la Réunion et à Mayotte) et 2 établissements publics de santé (Le CHU et le GHER).
Quels sont les parts d’activité de ces opérateurs dans le traitement de l’insuffisance rénale chronique (IRC) à la Réunion et à Mayotte ?
Quels types d’activité ? Des plus rentables (le centre lourd) au moins rentable (la dialyse péritonéale).
Quels revenus en tirent-ils ?
Où vont les « bénéfices » ?
Quelle diversification d’activité ont ils engagés ?
Quelles actions en faveur de la prévention et de l’autonomisation des patients ?
Quelle part dans la recherche, notamment des facteurs de prévalence de l’IRC qui touche prés de 3 fois plus de Réunionnais que la moyenne nationale.
Avec quels montages juridiques (Quelles filiales ?). Quelle est la rémunération de ces filiales et de leurs dirigeants ?
Surtout, quelle qualité de soins assurent-ils aux patients ? Certification de la haute autorité de santé (HAS), nombre de contentieux et plaintes en cours, avis des associations de patients.
Greffe de rein : qui fait quoi ?
Sur la question des difficultés de la greffe rénale que l’ancien Directeur général du CHU de la Réunion, David Gruson, impute sournoisement et misérablement à l’AURAR (Tribune dans le Quotidien de la réunion), l’enquête devra dire quels sont les maillons faibles du processus complexe de la greffe (du prélèvement d’organe jusqu’au suivi post opératoire). Elle devra notamment évaluer qui fait quoi et quelle part prennent les opérateurs dans la préparation à la greffe. Surtout, elle devra éclairer sur les moyens positifs d’améliorer la greffe à laquelle les insuffisants rénaux réunionnais doivent accéder. Pour une vie meilleure.
On pourra plus utilement prendre conseil auprès des médecins responsables localement du programme de greffe et du registre REIN.
Assassinat sur ordonnances… c’est le titre d’un petit livre en ligne sur Google dans lequel un médecin retraité raconte comment un groupe privé réunionnais s’est accaparé une clinique chancelante du Nord de la France.
Comme il y a quelques années dans une commune de l’Ouest de la Réunion où fleurissent les Orchidées.
Pour que l’histoire ne se répète pas, nous sommes nombreux et déterminés à éclairer l’opinion publique et démasquer les imposteurs. Nous avons de la mémoire et rendrons coup pour coup. Parce que Trop c’est Trop !
Jusqu’à ce qu’une autorité de la République, administrative ou judiciaire, fasse cesser cette chasse à la Femme et ce trouble à l’ordre public.
Et pour défendre l’honneur d’une femme réunionnaise et la pérennité de l’AURAR.
Le groupe Mafate
Source Temoigne.re
Depuis le 24 Juin, édito de lancement de la fatwa, pas moins de 10 éditos de Jacques Tillier, 5 de Philippe Leclaire (aujourd’hui mis en cause par le syndicat national des journalistes (SNJ) et la LICRA pour des insinuations antisémites), 3 Unes et plus de 15 articles !
Des amalgames outranciers, des arguments fallacieux, des accusations grossièrement mensongères, des injures sexistes, des pseudos enquêtes, des caricatures insultantes dont la répétition, semaine après semaine, n’a d’autre objet que d’instiller le doute et la suspicion pour jeter l’opprobre sur une personne et une institution livrées en pâture à l’opinion publique réunionnaise.
L’amalgame entre la femme politique et la dirigeante est subtilement entretenu. Mais la mise en cause de la femme politique n’a été qu’un leurre pour « appâter le client du samedi » de l’éditorialiste. Depuis, le masque est tombé sous la plume de Philippe Leclaire (JIR du 25/10) qui a clairement dévoilé l’objet de cette campagne sans précédents : la défense du projet concurrent de création d’un centre lourd de dialyse à Saint Paul, porté par le groupe CLINIFUTUR de Michel Deleflie.
Un groupe qui fait l’objet d’une promotion exceptionnelle depuis plusieurs semaines dans les colonnes du journal d’Abdoul Cadjee. 4 publi-reportages en 2 mois mais non annoncés comme tels comme l’exige la loi.
Nouveau schéma régional des soins
La véritable cible c’est donc l’AURAR : un établissement de santé dont le développement et les ambitions entrent directement en conflit avec des intérêts économiques puissants du monde réunionnais privé de la santé.
Le JIR lève le voile quand il s’abandonne en des termes injurieux (le Duc, la mèche, le pot aux fleurs) à une attaque en règle de l’ARS qui va devoir prendre dans les prochaines semaines des décisions importantes pour l’avenir de la santé des Réunionnais.
D’abord des décisions pour l’approbation du nouveau schéma régional des soins qui déterminera les futures implantations d’activité de soins. Les intérêts sont énormes quand il s’agit notamment de décider d’une future implantation de médecine dans l’Ouest, des futures autorisations pour les activités de traitement du cancer (chirurgie carcinologique, chimiothérapie, radiothérapie..) ou de l’insuffisance rénale chronique.
Des enjeux qui opposeront demain le secteur public (CHU et pôle sanitaire Ouest) au groupe CLINIFUTUR. Nous y reviendrons dans une autre tribune.
Projet d’un centre lourd de dialyse dans l’Ouest
Mais revenons à l’AURAR et à ses ambitions de poursuivre son développement au service de la santé des réunionnais.
L’AURAR est-elle plus illégitime que d’autres à se développer ? Quand sa qualité de service est unanimement reconnue (certification A par la Haute autorité de santé en 2017), ses activités diversifiées dans des domaines essentiels pour la santé des réunionnais (le diabète, l’obésité) et ses excédents financiers réinvestis dans son développement et dans des actions de prévention et de recherche.
N’en déplaise à l’éditorialiste du JIR, le secteur privé à but non lucratif occupe une part importante de l’offre en dialyse en France avec prés de 41 % des parts d’activité (15.000 patients).
Enfin et surtout des décisions de l’ARS qui vont très prochainement porter sur l’autorisation d’un centre lourd de dialyse au sein du futur Pôle sanitaire Ouest. Il faudra choisir entre le projet porté par le Centre hospitalier Gabriel Martin (CHGM) associé à l’AURAR et le groupe Clinifutur
La CSOS, commission spécialisée de l’offre de soins, compétente pour donner des avis sur les projets de création d’activité de soins a donné le 26 octobre dernier un avis favorable à une très grande majorité (4 abstentions) au projet porté par le Centre Hospitalier Gabriel Martin, associé à l’AURAR. Les 38 membres de la CSOS représentant la diversité du système de santé (usagers, médecins, syndicats, collectivités locales, acteurs de la prévention, établissements médicosociaux, établissements de santé..) ont même adopté une motion à l’unanimité pour rappeler leur indépendance vis-à-vis de tous les pouvoirs… Y compris de la presse quand celle-ci intervient pour discréditer un acteur de soin reconnu et adopter ostensiblement « un parti pris pour un des porteurs du projet » dont l’une des filiales du groupe est actionnaire du JIR. Indépendance…
Deux concurrents
Le projet concurrent porté par le groupe CLINIFUTUR a été retiré en séance mais le combat continue. D’abord par une intensification des pressions exercées sur le directeur général de l’ARS qui décidera in fine de la délivrance de l’autorisation sans être tenue par l’avis de la CSOS, fut-il très majoritairement favorable au projet du CHGM. Ensuite par la poursuite du lynchage médiatique pour éliminer définitivement Marie-Rose Won Fah Hin dont l’aura et les ambitions font de l’ombre à un groupe exclusivement centré sur le profit et qui dévoile aujourd’hui des méthodes inqualifiables.
Alors tous les moyens sont bons pour anéantir le projet adopté par les instances du Centre Hospitalier Gabriel Martin. Déstabiliser, discréditer l’AURAR qui apporte dans ce projet toute son expertise et son savoir-faire.
Car ce qui est aussi mis en cause dans cette affaire, c’est clairement la capacité d’un établissement de santé privé à but non lucratif à se développer et à occuper une place importante dans la prise en charge de l’insuffisance rénale chronique à la Réunion. Le JIR conteste au fond la légitimité d’une association à « prendre des parts » dans un « marché de la dialyse » prétendu juteux.
Si là est le problème, j’invite l’ensemble de la presse (y compris le JIR dans lequel il doit bien y avoir quelques journalistes professionnels capables d’une investigation indépendante) à faire une enquête approfondie sur ce secteur important de la santé.
L’enquête s’intéressera à tous les opérateurs : 2 associations (l’ASDR et l’AURAR, 2 groupes privés commerciaux (la clinique Durieux et le groupe CLINIFUTUR au travers de ses filiales dédiés à la dialyse à la Réunion et à Mayotte) et 2 établissements publics de santé (Le CHU et le GHER).
Quels sont les parts d’activité de ces opérateurs dans le traitement de l’insuffisance rénale chronique (IRC) à la Réunion et à Mayotte ?
Quels types d’activité ? Des plus rentables (le centre lourd) au moins rentable (la dialyse péritonéale).
Quels revenus en tirent-ils ?
Où vont les « bénéfices » ?
Quelle diversification d’activité ont ils engagés ?
Quelles actions en faveur de la prévention et de l’autonomisation des patients ?
Quelle part dans la recherche, notamment des facteurs de prévalence de l’IRC qui touche prés de 3 fois plus de Réunionnais que la moyenne nationale.
Avec quels montages juridiques (Quelles filiales ?). Quelle est la rémunération de ces filiales et de leurs dirigeants ?
Surtout, quelle qualité de soins assurent-ils aux patients ? Certification de la haute autorité de santé (HAS), nombre de contentieux et plaintes en cours, avis des associations de patients.
Greffe de rein : qui fait quoi ?
Sur la question des difficultés de la greffe rénale que l’ancien Directeur général du CHU de la Réunion, David Gruson, impute sournoisement et misérablement à l’AURAR (Tribune dans le Quotidien de la réunion), l’enquête devra dire quels sont les maillons faibles du processus complexe de la greffe (du prélèvement d’organe jusqu’au suivi post opératoire). Elle devra notamment évaluer qui fait quoi et quelle part prennent les opérateurs dans la préparation à la greffe. Surtout, elle devra éclairer sur les moyens positifs d’améliorer la greffe à laquelle les insuffisants rénaux réunionnais doivent accéder. Pour une vie meilleure.
On pourra plus utilement prendre conseil auprès des médecins responsables localement du programme de greffe et du registre REIN.
Assassinat sur ordonnances… c’est le titre d’un petit livre en ligne sur Google dans lequel un médecin retraité raconte comment un groupe privé réunionnais s’est accaparé une clinique chancelante du Nord de la France.
Comme il y a quelques années dans une commune de l’Ouest de la Réunion où fleurissent les Orchidées.
Pour que l’histoire ne se répète pas, nous sommes nombreux et déterminés à éclairer l’opinion publique et démasquer les imposteurs. Nous avons de la mémoire et rendrons coup pour coup. Parce que Trop c’est Trop !
Jusqu’à ce qu’une autorité de la République, administrative ou judiciaire, fasse cesser cette chasse à la Femme et ce trouble à l’ordre public.
Et pour défendre l’honneur d’une femme réunionnaise et la pérennité de l’AURAR.
Le groupe Mafate
Source Temoigne.re