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vendredi 6 octobre 2017
"L'Aurar a appris avec beaucoup d'étonnement que l'association Renaloo a interpellé le Ministère de la Solidarité et de la Santé au sujet
"des irrégularités dont serait à l'origine une importante société de dialyse à but non lucratif à l'île de La Réunion". Ces soupçons font suite à des allégations mensongères, non vérifiées, et systématiquement à charge, publiées par un journal local dans plusieurs éditos. Ces graves accusations, qui portent atteinte aux patients, aux salariés et aux partenaires de l'établissement, ont amené l'Aurar à réagir par voie judiciaire avec deux plaintes en diffamation" écrit l'Aurar dans un communiqué dont nous publions la suite dans son intégralité ci-après.
(...) "L’Aurar a aussitôt pris contact avec l’association Renaloo pour démentir ces accusations et rappeler, pièces à l’appui, que la qualité de la prise en charge de ses patients et la bonne gestion financière de l’établissement ne souffrent d’aucune contestation de la part des autorités de tutelle.
Dans cette même démarche de transparence, les instances dirigeantes de l’Aurar avaient déjà transmis à l’Agence régionale de Santé Océan Indien et à la Préfecture un ensemble de documents qui attestent de la bonne gestion et gouvernance de l’établissement, et de la qualité des soins, sachant que l’Aurar a toujours été certifiée au plus haut niveau par la Haute autorité de santé (HAS).
La directrice générale de l’Aurar s’est entretenue le week-end dernier, lors d’une audience privée, avec le cabinet de la ministre Agnès Buzyn, sans être interpellée sur "d’éventuelles irrégularités". Au contraire, le Ministère a salué le dynamisme de l’établissement.
Lors d’une réunion de travail organisée mercredi, l’Agence régionale de santé océan Indien a renouvelé toute sa confiance à l’Aurar, en matière de qualité et de sécurité des soins. L’autorité a également relevé la bonne gestion financière de l’établissement, "constats positifs" du commissaire aux comptes à l’appui. Et souligné n’avoir reçu "aucune plainte de patients nécessitant une action de contrôle".
L’Aurar tient, enfin, à rappeler qu’elle n’est aucunement responsable de la situation du nombre de greffes rénales à la Réunion, qui reste la compétence d’un service spécialisé du CHU. Ce qui ne l’empêche de participer activement à la préparation des patients à la greffe.
Dans le respect des recommandations de l’administration fiscale, l’Aurar a choisi de loger ses activités de formation professionnelle et de coaching nutritionnel - par nature lucratives - au sein de filiales commerciales dont elle possède la totalité du capital. Deux SCI, détenues entièrement par l’Aurar, portent une partie de ses actifs immobiliers.
L’ensemble des indicateurs économiques de l’Aurar attestent d’une très bonne maîtrise des charges d’exploitation pour une activité toujours croissante, dont les tarifs sont fixés par l’assurance maladie. Dans ce contexte, la trésorerie de l’Aurar correspond, en l’état, à six mois de fonctionnement et permet de sécuriser la charge d’emprunt de l’ensemble des investissements immobiliers.
Depuis 1980, l’Aurar œuvre au service des patients atteints d’insuffisance rénale chronique. Elle reste le seul établissement de l’île à proposer toutes les modalités de soins, notamment la dialyse à domicile. Les bénéfices de ses activités sont réinvestis au service de la qualité de vie des patients, en faveur de la prévention et de la recherche contre les maladies métaboliques".
Source: IPR. Le 06/10/2017.
"des irrégularités dont serait à l'origine une importante société de dialyse à but non lucratif à l'île de La Réunion". Ces soupçons font suite à des allégations mensongères, non vérifiées, et systématiquement à charge, publiées par un journal local dans plusieurs éditos. Ces graves accusations, qui portent atteinte aux patients, aux salariés et aux partenaires de l'établissement, ont amené l'Aurar à réagir par voie judiciaire avec deux plaintes en diffamation" écrit l'Aurar dans un communiqué dont nous publions la suite dans son intégralité ci-après.
(...) "L’Aurar a aussitôt pris contact avec l’association Renaloo pour démentir ces accusations et rappeler, pièces à l’appui, que la qualité de la prise en charge de ses patients et la bonne gestion financière de l’établissement ne souffrent d’aucune contestation de la part des autorités de tutelle.
Dans cette même démarche de transparence, les instances dirigeantes de l’Aurar avaient déjà transmis à l’Agence régionale de Santé Océan Indien et à la Préfecture un ensemble de documents qui attestent de la bonne gestion et gouvernance de l’établissement, et de la qualité des soins, sachant que l’Aurar a toujours été certifiée au plus haut niveau par la Haute autorité de santé (HAS).
La directrice générale de l’Aurar s’est entretenue le week-end dernier, lors d’une audience privée, avec le cabinet de la ministre Agnès Buzyn, sans être interpellée sur "d’éventuelles irrégularités". Au contraire, le Ministère a salué le dynamisme de l’établissement.
Lors d’une réunion de travail organisée mercredi, l’Agence régionale de santé océan Indien a renouvelé toute sa confiance à l’Aurar, en matière de qualité et de sécurité des soins. L’autorité a également relevé la bonne gestion financière de l’établissement, "constats positifs" du commissaire aux comptes à l’appui. Et souligné n’avoir reçu "aucune plainte de patients nécessitant une action de contrôle".
L’Aurar tient, enfin, à rappeler qu’elle n’est aucunement responsable de la situation du nombre de greffes rénales à la Réunion, qui reste la compétence d’un service spécialisé du CHU. Ce qui ne l’empêche de participer activement à la préparation des patients à la greffe.
Dans le respect des recommandations de l’administration fiscale, l’Aurar a choisi de loger ses activités de formation professionnelle et de coaching nutritionnel - par nature lucratives - au sein de filiales commerciales dont elle possède la totalité du capital. Deux SCI, détenues entièrement par l’Aurar, portent une partie de ses actifs immobiliers.
L’ensemble des indicateurs économiques de l’Aurar attestent d’une très bonne maîtrise des charges d’exploitation pour une activité toujours croissante, dont les tarifs sont fixés par l’assurance maladie. Dans ce contexte, la trésorerie de l’Aurar correspond, en l’état, à six mois de fonctionnement et permet de sécuriser la charge d’emprunt de l’ensemble des investissements immobiliers.
Depuis 1980, l’Aurar œuvre au service des patients atteints d’insuffisance rénale chronique. Elle reste le seul établissement de l’île à proposer toutes les modalités de soins, notamment la dialyse à domicile. Les bénéfices de ses activités sont réinvestis au service de la qualité de vie des patients, en faveur de la prévention et de la recherche contre les maladies métaboliques".
Source: IPR. Le 06/10/2017.