• Le Club Privilège
Facebook
Youtube
ProSante.re | Plateforme d 'Echange & Partage Plateforme d'échange & partage
  • Mon espace privé
  • Accueil
  • Actualités
    • News Réunion
    • News d'ailleurs
    • Formations / Congrès / Salons
    • L'actualité des associations
    • Les Prosanté du mois
    • Divers
    • Bulletin de l'ordre Médecins
    • Journal de l'ordre Pharmaciens
  • Votre espace
    • Proposer un article
    • Proposer une formation, congrès ou événement
    • Gérez mes alertes email
  • Emplois
    • Espace Candidat
    • Offres d'emploi
    • Déposer ma candidature
    • Espace Employeur
    • Candidatures
    • Déposer une offre d'emploi
    • Divers Annonces
    • Achetez, Vendez, Louez, Cession
    • Acoprophar
    • Déposer ma candidature
    • Je cherche un apprenti
  • Kel Fournisseurs
  • Kel Prestataires
  • Kel Associations
  • Kel Offres
    • Espace Fournisseurs
    • Nouveautés
    • Espace Prestataires
    • Nouveautés
    • Offres Flash
  • Vos liens utiles
    • URPS
    • Hôpitaux
    • SOS médecins
Menu
ProSante.re | Plateforme d 'Echange & Partage

Proposer un article

Catégorie
Chercher / Filtrer
Je cherche un article...
Les choix de filtrage ont changé, veuillez cliquer sur go pour terminer

Rubriques Articles

  • News Réunion

  • News d'ailleurs

  • Bulletin de l'ordre Médecins

  • Journal de l'ordre Pharmaciens

  • Le Prosanté du mois

  • Non catégorisé

  • Vous êtes ici :  
  • Accueil
  • Actualités
  • News d'ailleurs
  • Articles
  • News d'ailleurs
  • Pourquoi les médicaments biosimilaires vont se banaliser.
Created by
FJediteur
Created
mercredi 10 avril 2024

Pourquoi les médicaments biosimilaires vont se banaliser.

Sur un modèle proche des génériques pour les médicaments chimiques, les biosimilaires, produits à partir d’organismes vivants, vont être plus souvent délivrés en pharmacie.
Les médicaments biosimilaires, moins chers que les médicaments de référence, sont encore peu dispensés en ville, contrairement à l’hôpital. Le mouvement va s’accélérer avec la possibilité, pour les pharmaciens, de privilégier les biosimilaires lors de la délivrance des médicaments. Des listes et des conditions pour chaque groupe de médicaments biologiques doivent être établies d’ici à la fin de l’année.

Qu’est-ce qu’un médicament biologique ou biomédicament ?

Un médicament biologique est produit à partir d’organismes vivants (cellules, bactéries, levures...). C’est par exemple le cas de l’insuline pour les diabétiques, mais aussi de nombreux médicaments contre le cancer et les maladies auto-immunes, comme les anticorps monoclonaux.

Qu’est-ce qu’un biosimilaire ?

C’est un médicament qui peut être délivré en remplacement d’un médicament biologique de référence dont le brevet est tombé dans le domaine public. Il se présente comme le médicament de référence, a la même quantité et qualité de substance active. En raison de son mode de production, la similarité est cependant moins parfaite que pour un générique, qui est le substitut d’un médicament chimique.

Existe-t-il une liste de biosimilaires ?

Elle est publiée et mise à jour sur le site de l’Agence du médicament. Un médecin peut prescrire le médicament biologique de référence ou un de ses biosimilaires. C’est très courant dans les hôpitaux, moins en libéral malgré des incitations récentes de la Sécu qui « intéressent » financièrement les médecins aux économies réalisées sur certaines molécules. Un rapport de la Sécu de juillet préconisait un objectif de 80 % de substitution. C’est le cas à l’hôpital, mais on en est loin en ville. 

Pourquoi cet objectif de 80 % ?

Comme pour les génériques, c’est avant tout un enjeu économique, et il n’est pas mince. Les biosimilaires coûtent en moyenne 40 % moins cher (à l’hôpital) que les médicaments de référence et ce, pour des médicaments généralement onéreux. La loi de financement de la Sécurité sociale 2024 prévoit que l’Agence du médicament fasse le point sur les substitutions possibles par les pharmaciens d’ici à la fin de l’année.
Les médicaments biosimilaires, moins chers que les médicaments de référence, sont encore peu dispensés en ville, contrairement à l’hôpital. Le mouvement va s’accélérer avec la possibilité, pour les pharmaciens, de privilégier les biosimilaires lors de la délivrance des médicaments. Des listes et des conditions pour chaque groupe de médicaments biologiques doivent être établies d’ici à la fin de l’année.

Qu’est-ce qu’un médicament biologique ou biomédicament ?

Un médicament biologique est produit à partir d’organismes vivants (cellules, bactéries, levures...). C’est par exemple le cas de l’insuline pour les diabétiques, mais aussi de nombreux médicaments contre le cancer et les maladies auto-immunes, comme les anticorps monoclonaux.

Qu’est-ce qu’un biosimilaire ?

C’est un médicament qui peut être délivré en remplacement d’un médicament biologique de référence dont le brevet est tombé dans le domaine public. Il se présente comme le médicament de référence, a la même quantité et qualité de substance active. En raison de son mode de production, la similarité est cependant moins parfaite que pour un générique, qui est le substitut d’un médicament chimique.

Existe-t-il une liste de biosimilaires ?

Elle est publiée et mise à jour sur le site de l’Agence du médicament. Un médecin peut prescrire le médicament biologique de référence ou un de ses biosimilaires. C’est très courant dans les hôpitaux, moins en libéral malgré des incitations récentes de la Sécu qui « intéressent » financièrement les médecins aux économies réalisées sur certaines molécules. Un rapport de la Sécu de juillet préconisait un objectif de 80 % de substitution. C’est le cas à l’hôpital, mais on en est loin en ville. Un rapport de 2021 (derniers chiffres) estimait leur taux de pénétration à 30 %.

Pourquoi cet objectif de 80 % ?

Comme pour les génériques, c’est avant tout un enjeu économique, et il n’est pas mince. Les biosimilaires coûtent en moyenne 40 % moins cher (à l’hôpital) que les médicaments de référence et ce, pour des médicaments généralement onéreux. La loi de financement de la Sécurité sociale 2024 prévoit que l’Agence du médicament fasse le point sur les substitutions possibles par les pharmaciens d’ici à la fin de l’année.

Permis de conduire : êtes-vous favorable à des examens de santé réguliers ?

Les pharmaciens peuvent-ils déjà opérer des substitutions ?

Ils sont autorisés à le faire depuis avril 2022. Mais pour l’instant, seuls les facteurs de croissance (filgrastim et pegfilgrastim) sont substitués. Ces médicaments sont utllisés pour stimuler la production de globules blancs après certaines chimiothérapies. Pour ces deux produits, respectivement sept et neuf biosimilaires peuvent être délivrés en remplacement des médicaments de référence (Neupogen et Neulasta).

Quelle sera la prochaine étape ?

Un comité scientifique temporaire a été créé par l’Agence du médicament ANSM mi-février. Il doit définir dans quelles conditions les pharmaciens pourront substituer des médicaments biosimilaires. C’est-à-dire quels autres médicaments pourront être délivrés par le pharmacien, même si l’ordonnance du médecin indique un autre médicament. Les avis concernant chaque groupe de médicaments biologiques devront être établis avant fin 2024. Au final, c’est le ministère de la Santé qui validera.

Pourquoi ça grogne ?

Un collectif d’associations de patients souffrant de maladies chroniques (diabète, lupus, Crohn…) bataille depuis plusieurs années contre la substitution en officine. Il fait valoir que les produits biologiques sont généralement injectables (seringues ou stylos préremplis), et que les différences de présentation ne sont pas neutres (taille de l’aiguille)… Sans compter, selon elles, le risque d’une moindre adhésion au médicament ou l’apparition d’un effet nocebo (un effet placebo négatif). Des associations ont cependant été intégrées au conseil scientifique de l’ANSM qui décidera des substitutions possibles en officine

 

Source : https://www.ouest-france.fr/ Philippe RICHARD.

Pourquoi les médicaments biosimilaires vont se banaliser. Image 1

  • Qui sommes-nous ?
  • Contactez-nous
  • Mentions légales
  • Politique de confidentialité
  • Conditions Générales de Ventes
Suivez-nous !
Proposez vos idées
Menu
  • Le Club Privilège
  • Mon espace privé
  • Accueil
  • Actualités
    • News Réunion
    • News d'ailleurs
    • Formations / Congrès / Salons
    • L'actualité des associations
    • Les Prosanté du mois
    • Divers
    • Bulletin de l'ordre Médecins
    • Journal de l'ordre Pharmaciens
  • Votre espace
    • Proposer un article
    • Proposer une formation, congrès ou événement
    • Gérez mes alertes email
  • Emplois
    • Espace Candidat
    • Offres d'emploi
    • Déposer ma candidature
    • Espace Employeur
    • Candidatures
    • Déposer une offre d'emploi
    • Divers Annonces
    • Achetez, Vendez, Louez, Cession
    • Acoprophar
    • Déposer ma candidature
    • Je cherche un apprenti
  • Kel Fournisseurs
  • Kel Prestataires
  • Kel Associations
  • Kel Offres
    • Espace Fournisseurs
    • Nouveautés
    • Espace Prestataires
    • Nouveautés
    • Offres Flash
  • Vos liens utiles
    • URPS
    • Hôpitaux
    • SOS médecins

Connexion

Vous devez être connecté pour accéder au contenu du site.

Connexion
Pas encore membre ?

Rejoignez l'équipe ProSanté
et découvrez vos avantages en tant que :
img Professionnel
de santé
Prestataire
img Fournisseur
img Autre